A propos

Préserver le vivant sans prendre soin de mon écosystème intérieur.

Je suis issue de la ruralité. Très tôt, j’ai développé un lien particulier avec la nature, ce qui m’a naturellement menée vers des études en gestion des territoires et en protection de la nature.

Ces formations m’ont permis de vivre plusieurs expériences professionnelles aux quatre coins de la France, mais aussi en Belgique, dans des contextes territoriaux variés.

Un premier enrichissement, à la fois humain et professionnel, qui a ouvert ma vision du vivant.

Une première pause : Compostelle

À un premier moment de perte de sens, j’ai décidé de partir marcher sur le chemin de Compostelle.

Pendant deux mois et demi, j’ai traversé des paysages magnifiques, pris le temps, rencontré des personnes aux parcours très divers.

Cette marche a été une vraie reconnexion à la nature, à la lenteur, et à moi-même.

C’est là que j’ai rencontré, pour la première fois, le pouvoir de ralentir.

Par la suite, je cheminerais sur d’autres chemins qui font parties de mes moments de ressourcement.

De l’engagement environnemental
à la perte de sens

Par la suite, j’ai exercé dans le domaine du foncier agricole. J’accompagnais des maires, des syndicats des eaux et des agriculteurs dans la préservation de captages d’eau potable, avec des problématiques de pollution d’origine agricole.

Mais le service dans lequel je travaillais a été dissous. Mes missions ont changé.

On attendait désormais de moi des résultats chiffrés, loin du rôle de mission service public et environnementale qui m’animait.

C’est à ce moment-là que j’ai vécu une deuxième perte de sens.

Le virage vers la naturopathie

Pour clarifier mes envies professionnelles, j’ai réalisé un bilan de compétences. La naturopathie est rapidement ressortie comme une évidence.

Ce choix s’est éclairé peu à peu, à la lumière de mon parcours personnel.

Ma rencontre avec les huiles essentielles

J’ai découvert les huiles essentielles à 18 ans, lors d’un job d’été.

Je faisais le ménage chez des particuliers, et mes allergies ne m’épargnaient pas.

Une employeuse m’a tendu un petit flacon tiré d’une boîte pleine de fioles : une huile essentielle de conifère. L’odeur m’a instantanément soulagée.

Ce fut ma première rencontre avec les huiles essentielles.

Ma première révélation.

Se former, redécouvrir, approfondir

Je suis ensuite revenue aux huiles avec enthousiasme, en me formant à l’aromathérapie.

C’est au cours de cette formation que j’ai découvert l’olfaction.

Ces séances m’ont permis d’aborder les huiles autrement : non plus seulement par leurs propriétés physiques, mais à travers leur action émotionnelle, énergétique, et intuitive.

Ce fut une deuxième révélation.

Je me suis alors formée à l’olfacto-reliance, une approche centrée sur le lien sensoriel et subtil avec les huiles essentielles. Une rencontre avec la sagesse des plantes.

Une conviction : prendre soin de soi pour prendre soin du vivant

Ce que j’ai compris tout au long de ce parcours, c’est qu’on ne peut pas préserver la nature sans se préserver soi-même.

Aujourd’hui, j’accompagne celles et ceux qui veulent :

  • ralentir,
  • s’écouter réellement,
  • se reconnecter à eux-mêmes et aux autres,
  • sortir des attentes qui mettent la pression.
  • utiliser les plantes et les huiles essentielles de manière respectueuse, durable et alignée.

Mon objectif : proposer un accompagnement qui fait de la place au vivant en soi comme autour de soi dans un monde en transition.